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novembre 2020

Parties - Brazil

 

Honourable chair, fellow delegations, dear NGOs,

With its territory spanning over 8 500 square km, Brazil is the largest South American country. The prosperity of our nation heavily depends on the well-being of the resources, since 82% of the country’s energy comes from renewables. In Brazil, there is a great variety of rich ecosystems, a dynamic biodiversity and many natural resources such as fertile arable, land and minerals. Brazil’s agrarian industry not only feeds the world but also constitutes 24% of the national GDP, being a vital source of income for the country. Since our development and prosperity are heavily tied to the well-being of our resources as well as the efficiency of our agrarian industry at a global scale, the delegation hopes to establish a clear balance between necessary development in a globalized world and protection of national resources. Even though Brazil prospers from its forest, mountains, rivers, plains and coastal area, the country suffers from the effects of accelerating climate change, destroying its riches.

Similarly, in the light of this Commission’s subject of debate focusing on a sustainable Governance, the delegation hopes to establish a system to responsabilise big C02 emitters without putting a stop to the world’s economy. Brazil today strongly relies on renewable energies and is one of the countries emitting the least amount of greenhouse gas pollution, an achievement we can be proud of when looking at the strength of our industry at a global scale. We are thus ready to lead negotiations to ensure an optimal governance of resources at a national level, to optimize development and minimize environmental deterioration as much as possible. However, the delegation of Brazil wishes to remind the Commission that it is vital to ensure a country’s independence when taking care of its resources, since no global policy could adapt to all climates, and particularly such a diverse and complex environment as Brazil. This is why the delegation wishes make sure that national governments lead the decision process when it comes to deciding what will happen to resources, as delegating such a complex task to an organ that has no true understanding of the stakes will only be counterproductive. Indeed, Brazil’s industry does not need to be closely supervised as national policies adapt on their own to arising concerns, like today’s numbers clearly show: to tackle the resources deplation caused by forest fires, in 2020 Brazil cut down it’s forestry industry’s quotas by 10%. An internal adaptation of the state policy to face the natural threat shows our determination to preserve our resources, exploiting them reasonably. It also conveys that no strict limitation of exploitation of resources for industrial purposes is needed, since quotas change each year because factors that can only be understood by the country’s expert point of view on the matter.


Parties - UE

 

The European Union has for a long time had an important place at the heart of fighting climate change. For this year’s COP, the EU would like to stress the urgency of the consequences to come if the issue at hand is not dealt with immediately. 

Du fait de la pandémie globale de 2020, les émissions liées au charbon ont baissées de 8,8%. Les émissions de CO2 restent la cause principale du changement climatique. Aussi l’Union européenne considère-t-elle comme centrale la réduction de la production de gaz à effet de serre.

 L'Union européenne a déjà une expérience sur les mécanismes permettant de taxer les émissions de CO2 des industries polluantes. Nous visons à adapter, et généraliser ces mécanismes à l'échelle globale.

D’autre part, nous ambitionnons une croissance du taux de consommation des énergie renouvelables dans le régime énergétique global.  Cette politique sera étendue au pays en développement (PED) afin d’engager une industrialisation originellement respectueuse de l'environnement. Les pays en développement, ayant en majorité une situation météorologique favorable aux énergies renouvelables, ils bénéficieront d'autant plus de ses investissements qui ouvriront de nouveaux débouchés économiques et sociaux tout en étant rapidement rentabilisés.

The European Union has experienced major migrant waves as a consequence of climate change and the rise of the level of seawater.

25 Million people are forced to move every year due to natural disasters caused by climate change. Moreover, this figure made by IPCC (Intergovernmental panel on climate change)  is estimated to increase to around 150-200 million climate change refugees by 2050. the European Union therefore recognised actions are needed in order to respond adequately to this issue. 

The EU strongly supports the push for improved emergency planning and adaptation policies with intention to prevent the consequences of catastrophes, and to ease pressures caused by large waves of migration, induced during extreme changing of climate. 

As the European Union remains a pioneer in engineering sea defenses, there is an expectation to help certain parties with infrastructure arrangements based on the relative requirements and capacity.

The European Union would also like to raise awareness regarding the EU funded MMICD project (Mainstreaming Migration Into International Cooperation and Development) meant to strengthen the process of migrant integration into cooperation and sustainable development policies. Systematic guidance on how migration can be integrated into developpement cooperation sectors is provided. 

This project should be enhanced by a more global cooperation on the issue and better communication to both the communities primarily concerned and worldwide.

Die Europäische Union denke dass der Kampf gegen Klimaerwärmung auf lokaler Eben, im Einklang mit das SDG 11 Ziel.

L'Union européenne croit en la lutte contre le réchauffement climatiques au niveau local, conformément aux objectifs SDG 11. 

Wissend dass die Transport einen wachsend Platz in der globale CO2 Emissionen in eines immer mehr zusammenhielt Welt steht werde, Die Union will die Mitarbeit für die Forschung von neuen Transport Technologien fördern, konsomirende kein fossile Energie und einschließenden alle die Region die in die gleiche Wertschöpfungskette sind.

Sachant que les transports prendront une place croissante dans les émissions globales dans un monde toujours plus interconnecté, l’UE veut promouvoir la coopération pour la recherche de nouvelles technologies de transport , ne consommant pas d'énergies fossiles; et ce en incluant toutes les régions participant à la chaîne de valeur  

D’autre part, l’UE propose que ces nouveaux types de transport reçoivent des incitations des structures d’investissement pour faciliter la mise sur le marché de ces produits à des prix d’entrée accessibles via d’importantes économies d'échelles 

Un mécanisme de soutien économique aux pays en développement pourra être apportée à cette fin, et plus généralement pour son développement commercial, sous conditions. 

L’Union européenne appuyé la création d’objectifs mineurs biannuels portés les régions et divisons étatiques équivalentes; afin de garantir un suivi régulier des Accords d’une part, et faire de ces régions des initiatrices de transformation locales, utiles à la constitution de politique étatiques ambitieuse.

The message sent by the Union is clear, to join our efforts to confront together the climate urgency that affect us all and will affect us far more if no voluntarist/strong-willed agreement is signed today.

Damen und Herren, Danke schöne 

 




Parties - AOSIS

 

Aujourd’hui nous sommes là pour représenter les AOSIS dont l’avenir dépend des décisions qui seront prises aujourd’hui. La dure réalité est que plusieurs iles sont déjà menacées de disparition. Certaines risquent même d’être submergées d’ici 50 ans notamment les iles Kiribati, les iles Tuvalu, iles Cook, iles Marshals et les Maldives. Des pays font face a la fin de leur histoire et c’est aujourd’hui qu’il faut agir. Afin d’éviter toute complicité de votre part à cet anéantissement, nous vous recommandons d’écouter notre déclaration. Ce n’est pas un problème mineur, il nous concerne tous, et n’est pas uniquement national mais international. Environ 800 millions de personnes seraient concernées d’ici 2030. Notamment les locaux qui perdront leur emplois, leur foyers, leurs modes de vie, leur culture, ce qui va impacter les générations futures. Ce phénomène entrainera environ 150 à 200 millions de réfugiés climatiques. Aujourd’hui, 30% de la population vit sur les littoraux et donc est menacée. Vous les Pays bas, vous la Chine, vous les Etats-Unis êtes concernés.

Le plus urgent est de diminuer drastiquement les gaz à effet de serre, ces derniers étant la principale cause de la montée des eaux. Le CO2 est responsable de la hausse de la température terrestre. Par conséquent les glaciers sont directement impactés par ce changement climatique anthropique ce qui entraine leur fonte. Nous savons que la fonte des glaciers entraine la hausse du niveau de l’eau et c’est à cette menace que nous devons faire face. La NASA estime qu’en 20 ans de 1990 à 2011 la mer a monté en moyenne de 3,2mm par an. Nous pensons qu’en favorisant production globale d’énergies renouvelables , l’implantation de panneaux solaires, d’éoliennes et en réduisant les énergies fossiles nous pouvons ralentir le processus de la montée des eaux. Nous souhaitons conserver nos littoraux en instaurant des défenses maritimes telles que: des digues, des pompes d’eau de mer, et l’amélioration du système d’égouts. Cependant ces solutions ne sont qu’éphémères, il est par conséquent important de se focaliser sur des solutions à long terme. Nous demandons donc le financement de mesures préventives afin de protéger nos iles et nos populations. Les pays qui sont le plus impactés et mis en danger par les gaz à effet de serre sont ceux qui en émettent le moins c’est pourquoi nous pensons être légitimes à recevoir des aides financières de votre part. Nous appelons les états à subventionner leurs entreprises fonctionnant grâce à des technologies vertes ou des énergies renouvelables. Au contraire nous souhaitons qu’une taxe soit imposée aux firmes les plus polluantes. Nous souhaitons également encourager la production et l’achat des véhicules à émissions zéro.

Aujourd’hui nous assistons à une catastrophe écologique et sociale qui est globale. Par conséquent, pour y remédier nous avons besoin de solutions globales et des subventions de la part des pays émettant le plus de gaz a effets de serre.


Organization - FMN FTN

 

Honorable members of the COP, my name is Hannibal Anthon, and I am here on behalf of ExxonMobil, and with me, Luka Citron, here on behalf of Total. Together, we represent the transnational firms during the 2020 COP Copenhagen. 

Climate change is an undeniable crucial issue in our modern world. As major producers of energies around the world, we are aware of our central role and our massive impact on this pivotal matter. We are conscious that our sector is responsible for 25,9% of CO2 emissions according to the fourth IPPC report, making it the most polluting human activity. These numbers stress the importance of our mobilisation and motivates us to make a strong and impactful change. 

Over the past years, our workers, leaders and employers, have pushed for a greener and more durable production. We have partnered with scientists around the world to research and find solutions for this problem, that has allowed us to develop low emission bio fuels, and contribute to cost affective carbon capture and storage technologies. 

Nevertheless, the global economy relies heavily on our sector and industry to fuel its growth. We are therefore highly concerned of the economical effects of the implantation of policies and sometimes sanctions on our sector as a result of the decisions made during this COP. We want to highlight the importance of a long term transition, that will allow a progressive and coordinated conversion. Furthermore, we would also like to stress that penalising our industry would lead to mass disruption of our activity, and as a direct consequence substantial growth of unemployment rates around the world. For example in the USA, our sector employs over 6.4 million Americans. 

Last but not least, it is crucial to us that governments and organisations present during this sitting, work together to find a global compromise to this ever-growing issue. We strongly hope that our interests and concerns will be taken into account in the decisions made in Copenhagen.


About the conference

COP - Logo 2

What is the COP?

Where is the LFJM COP taking place virtually?

What is the vision of the LFJM COP?

What are the three resolutions on which the LFJM COP will focus its attention?

Who is going to be taking part to the LFJM COP?


LFJM COP - resolution 3

Working towards the SDG 11

SDG 11

Proposed by Hannibal Anthon, Luka Citron, Galadriel Daufresne, Scarlet  Wilson Delaye 


The promotion of new strategies to work towards the accomplishment of the eleventh SDG: sustainable cities and communities.


Noting with deep concern that fossil and non-renewable energies are highly polluting and typically found in specific regions of the world, making it difficult to extract and access. For example, oil drilling could require stripping Canada’s boreal forest with specific technologies, the act itself leading to several dangerous natural disasters. However, mentioning that access to renewable energies, such as solar energy, wind energy, hydroelectric power, biomass energy, geothermal energy, tidal and and wave energy.

Stressing that climate change is not stopping and will only get worse

Recognizing that changing traditions and infrastructure is difficult and will take time

Keeping in mind the possibility of conflicts over fossil fuel resources regarding their dependency on such industries

Concerned about reports from the Center for Biological Diversity which state that globally 15 percent or more of man made carbon dioxide is derived from cars, trucks, airplanes, ships and other modes of transportation

Cognizant of the level of dependency placed on petroleum and furthermore acknowledging that approximately 96% of transportation fuel is in the form of petroleum

Referring to the fact that only with international unity can climate change can be reversed by developing green transportation and other countermeasures
- Urges member states to promote and research for vehicles not powered through fossil fuels
- Recommends member states use natural gas
- Recommends all countries to encourage popularization of transportation that run on more efficient or zero emissions
- Calls for member states to incentivise the use of green technologies for commercial and consumer purposes
- Encourages MEDCs to help LEDCs in financing the initial investment of switching to greener technologies
- Requests creation of minor biyearly goals created by member states to guide the accomplishment of long term goals


LFJM COP - resolution 2

Resolution 2 : Environmental migration

Refufies-clim

Proposed by Hannibal Anthon, Luka Citron, Galadriel Daufresne, Scarlet  Wilson Delaye 

Since 1990, the Intergovernmental Panel on Climate Change (IPCC) has been forecasting that strong human migrations would be a major consequence of climate change and the rise of the level of sea waters. We understand today that these warnings were truthful as 25 million of people on earth are forced to move every year due to natural catastrophes mainly caused by climate change. The situation is critical in many different locations around the world for populations who slowly see the day where they will be forced to leave their houses come closer. This is the case for the inhabitants of Beijing who observe the Gobi desert grow by 10000km² per year becoming a bigger menace to their lives by day. Similarly, in the Arctic circle, the melting of the far north’s permafrost will drive local populations to leave their homelands.


Acknowledging that the rise in sea levels is mainly due to the melting of land ice, caused by the continuous increase in temperatures. This corroborates the urgency of dealing with global warming as part of this discussion.

Noting with concern that the world will have 150–200 million climate change refugees by 2050

Recognising that during the 2020 LFJM COP the countries, organisations and companies will have to work toward solving the major issue which has already been one for the last 10 years and will become growingly important in the future, the environmental migration.

Alarmed by, according to the fourth IPCC report, in 2004, the 49 billion tonnes of CO2 equivalent emitted by the following human activities:
- energy sector is 25.9%;
- industry at 19.4%;
- the forestry sector at 17.4%;
- agriculture at 13.5%;
- transport at 13.1%;
- homes at 7.9%;
- waste and wastewater at 2.8%.


These different human activities are the main causes of the growth of CO2 emissions resulting in a higher temperature on earth and which therefore increases the melting of ice and as a consequence environmental migration.

The many actors of this COP will therefore have to work hard together to reduce greenhouse gas emissions by focusing on some of these activities, in particular those which have an important share in the greenhouse gas emissions, in particular by making compromises to resolve the growing problem of environmental migration.


Discussion points:
- Urges the construction of sea walls, storm water pumps and upgrading sewage systems to slow down the rise of sea levels.
- Calls for financial help to invest in solutions to slow land sinkage.
- Recognising that countries directly impacted by migration are the ones that contribute the least in gas emissions and should therefore receive important support from the more responsible countries.
- Calls for good emergency planning and adaptation policies which mitigate the wet and dry extremes of our changing climate that will reduce pressures on migration
- Advises the raising of awareness of the EU-funded project implemented by IOM on 'Mainstreaming Migration into International Cooperation and Development' (MMICD project) that developed a video that serves as both a training and outreach tool to showcase the #MigrationConnection


LFJM COP - resolution 1

Reduction of CO2 emissions through carbon neutrality

Proposed by Hannibal Anthon, Luka Citron, Galadriel Daufresne, Scarlet  Wilson Delaye 

2020 has proven to be a year full of changes and has redefined our way of living, thinking, and consuming. With the worldwide pandemic, carbon emissions exceptionally decreased, a staggering 8.8 % decrease was observed in CO2 emissions in the first half of 2020 compared to the same period in 2019. This massive decrease in our carbon footprint not only exposes the central role of human activity on CO2 emissions, but also highlights the potential and scale of the possible change our societies can inflict on emissions.


With carbon emissions being the main cause of global climate change, and the planet's average surface temperature rising about 2.05 degrees Fahrenheit (1.14 degrees Celsius) since the late 19th century, it is essential to try to find compromises in our daily CO2 emissions.

Carbon neutrality, with hundreds of countries already pledging to obtain this neutrality, aims to achieve net zero carbon dioxide emissions by balancing carbon dioxide emissions with removal or simply eliminating carbon dioxide emissions altogether. This carbon neutrality has a dual approach with the possibility of reduction as well as compensation, and could therefore be a
highly productive approach to discuss in this COP convention.


We are aware of the challenge of cutting CO2 emissions and the economic effects. For example, sub-Saharan Africa as a result of reducing their CO2 emissions, saw the number of people living in poverty double. However, data compiled by the World Resources Institute shows that since 2000, 21 developing countries have reduced annual emissions while simultaneously growing their economies, indicating that the decoupling of economic growth with emissions is possible. Furthermore, The Low Carbon Index found that several G20 countries have reduced their economies’ carbon intensity while maintaining GDP growth, including
countries classified as ‘developing’, such as China, India, South Africa and Mexico. These exciting statistics lay the possible tone of change in global carbon emissions, and hopefully insight a new dynamic amongst the debates in this year’s COP LFJM 2020!

Discussion points:
- Promote alternative travel to air travel which is one of the main CO2 emitters, with for example trains, who are only responsible for 4% of global emissions of CO2 in transport in 2019.
- Increase in global production of renewable energy, renewable energy only accounting for 26.2% of global electricity generation in 2018 and the demand for electricity predicted to more than double by 2040 according to Renewable Energy Policy Network’s overview. Benefits of increasing global renewable energy consumption include creating more job opportunities in the energy sector and achieving energy independence
- Optimise the implantation of solar panels, Africa has the richest solar resources in the world but only exploits 1% of its solar capacity.
- Create renewable energy strategies shaped to each country’s unique circumstances to maintain and encourage growth while reducing emissions
- Implementation of policies in developing countries to shit away from an economy relying on carbon intensive industries.
- Coordination of policies at a global level to ensure a worldwide shift towards a decrease in carbon emissions.
- Assure the measurement of the carbon footprint of industries, for example In the United States where the industry sector accounts for approximately 22 percent of greenhouse gas emissions in 2019.
- Impose policies on industry's carbon emissions
- Rewarding environmental friendly commuting of company workers, cars being the number one carbon emissioner.
- Put into place standards and policies on industry’s carbon emissions
- Noting with deep concern that over the past 70 years, global CO2 emissions have increased by a factor of almost seven
- Encourage the United Nations Industrial Development Organization and UN funding bodies to provide support and incentives in order to minimize economic damages caused by reduction of fossil fuel use:
- Alarmed by the 4.6 million deaths every year due to PM2.5 , PM10 and CO2 emissions


The LFJM COP vision

By Hannibal Anthon, Luka Citron, Galadriel Daufresne, Scarlet  Wilson Delaye 

Climate change, brought on by human intervention, specifically during the Anthropocene period, is a phenomenon with which our society is engaged in an ongoing battle. The impacts brought on by climate change are many, are dangerous and threaten not only our environment, for example our oceans, but, ironically, humanity as well, and our well being.

This Cop, located virtually in Copenhagen, a city willing to go to great lengths to protect the environment, has several goals in mind to discuss and hopefully agree on. They include the question of CO2 emission reduction, settling the debate about immigration due to climate change, and the promotion of the use of renewable resources as a replacement for our primary, polluting ones.

We would like to thank all the countries in attendance, China, Brazil, USA, the European Union and the oil producing nations. We also welcome the presence and participation of several Intergovernemental organizations and Non-Governmental organizations, the United Nations, the Alliance of small pacific islands, Oxfam, WWF, Greenpeace and the indigenous people.

This intergovernmental debate also recognizes civil society as a crucial actor and give them full right to vote. 




Parties & Non-Party Stakeholders

Article de Kenny Agboton, Emmy Barthe, Gabriella Cantone, Pauline Dekonink, Chloé Dupontreue, Luke Mellish

Les COP ou conférences des Parties accueillent trois grandes catégories de participants :

  • Les états appelés parties – les acteurs politiques ;
  • Les observateurs d’organisations intergouvernementales (IGOs) ou non-gouvernementales (NGos) – les représentants de la société civile ;
  • Les médias.

LES PARTIES DE LA LFJM COP

Chine

  • La Chine a lancé une nouvelle politique climatique depuis 2006 malgré une consommation croissante en énergies fossiles. Le charbon couvre 2/3 de ses besoins énergétiques. Elle a développé une politique volontariste sur les énergies renouvelables en investissant massivement ce qui lui permet d’être le premier acteur sur le marché dans ce domaine. Parallèlement, les manifestations contre la pollution atmosphérique ont mené à une politique plus sévère sur les GES. Elle a annoncé une neutralité carbone pour 2006.
  • Depuis le début des COP, la Chine se pose en leader des PED notamment via le G77+Chine.
  • Elle peut se révéler méfiante vis-à-vis des interventions lorsque les pays du Nord économique font moins d’efforts que les PMA.

Bresil :  

  • Le Brésil émet relativement peu de tonnes de CO2, malgré une agriculture intensive, grâce à des barrages, vivement critiqués par ONG environnementales et les peuples autochtones car ils affectent la biodiversité.
  • Il se pose comme puissance verte en 2007 en essayant de lutter contre la déforestation en coopérant aux politiques internationales.
  • L’absence d’une population conscientisée au réchauffement climatique et l'arrivé du président Bolsonaro dans le pays a lancé une reprise de la déforestation.

Etats-Unis :

  • Ils sont un producteur majeur d'énergie fossiles et le pays est le deuxième plus gros émetteur de CO² du globe.
  • À l'origine, la politique américaine visait l'adaptation aux conséquences du changement climatique avec comme objectif de réduire « la vulnérabilité des Pays du Sud à la variabilité climatique » sans pour autant promouvoir une politique climatique induisant une baisse des émissions de CO2.
  • Les Etats-Unis ont toujours soutenu les accords internationaux ‘ils n’étaient pas contraignants.
  • Par soutien à la croissance économique, Donald Trump a retiré son pays de l’accord de Paris en 2017.
  • Aujourd'hui, avec le regain du réchauffement climatique dans le débat public suite à l’augmentation des sécheresses, aux pénuries d'eau et aux ouragans dévastateurs, la lutte contre le réchauffement climatique est redevenue une priorité principale pour 68% des électeurs démocrates en 2020.
  • Le President elect Joe Biden a anonncé le retour des Etats-Unis dans l’accord de Paris.

UE :

  • L’Union européenne occupe une place importante pour la lutte contre le réchauffement climatique en encourageant la mise en place d’accord plus ambitieux, des objectifs chiffrés, considérant la question de la réduction des émissions comme une question centrale.
  • Elle fixe ces grandes orientations politiques à partir des COP.
  • Elle dispose d’infrastructures gouvernementales ainsi qu’une sensibilisation précoce sur le sujet mais elle doit faire face à des échecs de sa politique interne en la matière. Son action climatique renforce son image de puissance douce. Les mobilisations récentes de la société civile sur le changement climatique pourait amener un nouveau souffle pour ses politiques.

PMA :

  • 34 pays d’Afrique, 9 d’Asie, 5 du Pacifique
  • Le changement climatique pourrait avoir des impacts très violents sur la croissance annuelle de ces PMA mais également provoquer des catastrophes naturelles de plus grande ampleur que ces pays déjà vulnérables pourront difficilement affronter.
  • La question sur l’adaptation de ces pays est donc urgente et leur inquiétude sur le réchauffement réelle.

AOSIS :

  • 44 pays insulaires et côtiers en développement, représentant à eux tous, l’équivalent d’un pays.
  • Ils ont pour objectifs principal : la conservation des océans, le développement durable et le problématique du changement climatique qui entraîne la montée des océans qui les menacent directement. Pour la plupart d’entre eux, le réchauffement climatique est une question de survie nationale.

Pays pétroliers :

  • En particulier les pays du Golfe comme l’Arabie Saoudite, les Emirats arabes unis, l’Irak, l’Iran ou le Koweit
  • Ils tendent à bloquer régulièrement les négociations car le pétrole est une de leur principale source de revenu.
  • Cela étant, on observe un reconnaissance progressive la question de l'après-pétrole pour leurs économies très dépendantes des énergies fossiles.

LES OBSERVATEURS

ONG sociales :

  • Exemples: Oxfam, syndicats
  • Elles promeuvent un développement durable, en tentant de réduire les inégalités dans le cadre du changement climatique. Beaucoup de populations souffrent de la faim à cause des sécheresses. Le terrorisme se développe également plus facilement dans des zones de sécheresse comme le Sahel avec Boko Haram.

Peuples autochtones :

  • Ils plaident pour qu'une mention explicite de leurs droits soit faite dans les textes en négociant sur le REDD (Reduced Emissions from Deforestation and Degradation) faisant plus particulièrement référence à la “Déclaration des Nation Unies sur les droits des peuples autochtones” votée en 2007. L’Australie et les USA bloquent leur décision, ayant tous deux des populations autochtones importantes résidant dans des zones à forte ressources naturelles.

ONG environnementales :

  • Exemples: Greenpeace, WWF
  • Ce sont des ONG ayant pour objectif premier la protection de l'environnement et le développement durable sur le long terme. Ces organisations n’ont aucun but lucratif. Elles veillent à la conservation de la nature et au changement de comportement de la société civile internationale par rapport à l’environnement. Leurs visions sont axées sur le bien-être des générations futures.

FTN / FMN :

  • Les lobbys et groupes de pressions industriels essayent d'empêcher ou de retarder les décisions qui pourraient nuire à leur productivité, utilisent souvent l’argument de la croissance économique ou du droit des travailleurs et la menace du chômage. Ils peuvent toutefois se révéler ambivalents dans leur posture lorsqu'ils ont aussi des activités « vertes » : investissement dans les énergies renouvelables, développement de techniques moins énergivores.

ONU :

  • L’organisation des Nations-Unies disposent de plusieurs programmes en charge des problématiques environnementales.
  • PNUE – plan des Nations-Unies pour l’environnement : Branche de l’ONU qui a pour mission de coordonner les activités des Nations-Unies dans le domaine de l’environnement et de soutenir les politiques environnementales nationales.
  • OMM - organisation météorologique mondiale : organisation dédiée à l’étude météorologique, à l’impact sur les sociétés des phénomènes météorologiques.
  • GIEC - Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat